Présentation

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Bonjour,
Originaire et résidant en Romandie, Vu qu'il est de bon ton de se situer au mieux, pour mon age, je suis plus sexagénaire que sexy.
j'ai débuté un petit élevage d'une vingtaine de poules grandes races l'année passée. L'incubateur est en pleine action avec un "atterrissage" à mi-mars pour deux douzaines d’œufs.
Mon but est de produire une partie de notre nourriture raison pour laquelle nos trois parcours sont adossés au jardin potager. Des synérgies étant possible.

Bien que n'élevant pas en pure race j'ai beaucoup de respect pour tous ces petits et grands élevages qui préservent notre patrimoine autant génétique que culturel. Peut-être qu'un jour avec plus de temps et de compétences je m'y mettrais aussi. Je le fait actuellement au sein d'une association préservant le patrimoine de semences potagère mais c'est un autre domaine.

Je m'intéresse en premier aux races à deux fins mais surtout avec un haut potentiel sanitaire et de résistance aux aléas climatiques. Je désire savoir si le fait de ne pas élever en pure race est rédhibitoire pour les échanges avec les membres et est compatible avec le cadre du site. Merci de me mettre au courant sur le sujet.

A bientôt avec le souhait d'échanges plus approfondis.    Rémy

Bienvenue sur le forum!

Je suis dans la même optique que toi, produire une partie de mon alimentation en m'intéressant aux races à deux fins, rustiques et productives.

Dis-nous les races que tu as sélectionnées pour ton élevage.

Je ne pense pas que le fait de ne pas travailler en pure races soit rédhibitoire, les membres ne devraient pas s'arrêter là-dessus ne t'en fais pas ....

Par contre personnellement je trouve sa plus intéressant de rester sur du pure races pour l'instant afin d'essayer de trouver celle qui me convient le mieux (ponte/ chaire/ rusticité) ou faire une basse-cour avec plusieurs races complémentaires, et ça permet aussi d'entretenir le patrimoine génétique et culturelle en essayant de se rapprocher des éleveurs plus spécialisé qui produisent du bon et beau.

Au plaisir de te lire.

Fut un temps ou effectivement on était censé parler que des plumes de races, mais c'est un temps révolu car ici on veut pouvoir s'aider et s'entraider quelques soient nos boules de plumes qu'elles soient pure race ou non, donc tu y a toute ta place!

Ravie et bienvenue dans notre communauté, j'aurais je pense beaucoup de choses à apprendre de toi car de mon coté j'élève mes plumes presque comme des animaux de compagnie et je ne sais pas comment passer le cap d'en faire un repas (je parle viande et non des oeufs évidemment lol) et je parle au moins du coté psychologique que technique dans un premier temps...

Bon après il y a des chances qu'on essaie de t'amener à te "spécialiser" dans une race, parce que c'est encore mieux quand on peut promouvoir une race en plus du reste

 Gallinophile,
Bien reçu ton MP mais je l'ai lu cette nuit alors je n'y ai pas répondu. Comme il n'y a rien de secret je peux aussi y répondre ici si tu veux (ça pourrait intéresser d'autres)
@Coucou56 : c'est drôle que tu en parles, je voulais justement ouvrir un sujet sur la rusticité des races (comparaison entre celles du tronc atlantique et les asiatiques) Pas trouvé le temps hier, mais je m'en occupe.

L'abbé Demorlais a écrit:

 Gallinophile,
Bien reçu ton MP mais je l'ai lu cette nuit alors je n'y ai pas répondu. Comme il n'y a rien de secret je peux aussi y répondre ici si tu veux (ça pourrait intéresser d'autres)
@Coucou56 : c'est drôle que tu en parles, je voulais justement ouvrir un sujet sur la rusticité des races (comparaison entre celles du tronc atlantique et les asiatiques) Pas trouvé le temps hier, mais je m'en occupe.

Oh oui ! ca pourrait être plus qu'intéressant !

L'abbé Demorlais a écrit:

 Gallinophile,
Bien reçu ton MP mais je l'ai lu cette nuit alors je n'y ai pas répondu. Comme il n'y a rien de secret je peux aussi y répondre ici si tu veux (ça pourrait intéresser d'autres)
@Coucou56 : c'est drôle que tu en parles, je voulais justement ouvrir un sujet sur la rusticité des races (comparaison entre celles du tronc atlantique et les asiatiques) Pas trouvé le temps hier, mais je m'en occupe.

Oui sa peux être intéressant, pour la rusticité qui m'intéresse moi par exemple c'est sanitaire (résistance maladie / vers / intempérie) mais aussi comportementale (par exemple lorsque j'ai introduit le couple de noire de Janzé, l'ensemble des poules s'est mise à aller plus loin et plus de recherches de nourriture hors mangeoires qu'avant... cette race a donc eu un impact que je trouve plutôt positif sur le comportement général de mon groupe... ) dans le cadre de mon projet de poulailler familial nourricier sur 400m2 et plus du coup (elles ont investie la prairie voisine en passant sous le grillage). Pour des éleveurs de poule d'ornement, ou des éleveurs de poule sur des petites surface ce n'est pas forcément les mêmes attentes.

Un post sur la rusticité et un post sur la productivité (oeuf / chair) je pense que sa intéresserait pas mal de monde .

Bonjour et bienvenue

Merci pour vos messages de bienvenue. Ca réchauffe et ça rassure.

Mon optique actuelle est ce que Coucou56 appel de la rusticité.
Louluop, désolé, je suis d'aucun recours sur le plan de faire boucherie. Actuellement si je tue c'est que l'animal est irrécupérable. Heureusement, j'ai une connaissance qui s'occupe de cet aspect. Mais c'est vrai on mange de la carne on devrait être capable d'assumer du début jusqu'à la fin.

Pour mon petit élevage, je me base majoritairement sur des races telles que Rhode-Island, Italienne, Orptigton, Barnvelder et hybrides industrielles. Deux de mes coqs étaient déjà mélangés à l’acquisition. Des Marans et welsumer sont dans la couveuse.
Mais il y a beaucoup d'autres races qui m'intéresseraient bien à étudier et/ou à peut-être ajouter un jour.

Attention je ne cherche pas à croiser "la carpe et le lapin". Mes choix vont dans un "cousinage" plus ou moins existant.
Je recherche l'effet d'hétérosis en première génération puis après construire dessus mais je ne veux pas devancer la musique ...  Ce qui est sûre, j'aimerais autant que faire ce peut éviter l’érosion générique ou dépression génétique due à des lignées à trop petits effectifs ou peut brassées.

Sans avoir ni les compétences ni la prétention ni les moyens, je m'inspire des créations de types d'animaux domestiques d'utilités. Beaucoup d'entres-elles furent composites. Dans le Gallinodrome la Bielfelder en est un bon exemple ressent parmi tan d'autres. Je pense être en accord avec les "utilisateurs" d'animaux d'avant la notion des races domestiques. Ce qui faisait qu'un animal était retenu pour la reproduction était les capacités à remplir une tâche précise dans un environnement donné. En suite, on affinait les phénotypes qui avaient si possible leurs utilités. Par exemples camouflages ou distinctions chien de berger par rapport au loup.

Un des choix personnel et discutable vient des couleurs "utilitaires". Je choisi majoritairement des couleurs allant du perdrix au brun pour arriver dans une petite marge de noire. Cela dans le but de rendre mes poules le moins visuel pour des prédateurs.
Toujours dans la même optique, j'évite tout ce qui peut occulter leur champ de vision.
Pour la résistance à l'humidité j'évite les plumes au pattes (Exception Marans)

Dans l'approche extensive et qualitative, une de mes sources d'inspiration est cette famille du Sud de l'Espagne qui élèvent des oies et produit du foi gras entre autre en aménageant les parcours avec les herbes aromatiques qu'ils pourraient autrement mettre dans le foi apprêté. Leur foi gras n'est pas plus salé qu'aromatisé. Et il gagnent des concours internationaux.

La production est pour moi à ce stade secondaire.
Bien à vous,  Rémy

P.s.: si quelqu'un pouvait me dire comment faire pour éviter que mon message se publie aussi dans la marge de gauche se serait avec reconnaissance.

Pour supprimer ton message dans "attentes et demandes" tu vas dans "profil" C'est toi qui a la main pour le faire.

Gallinophile a écrit:

Merci pour vos messages de bienvenue. Ca réchauffe et ça rassure.

Mon optique actuelle est ce que Coucou56 appel de la rusticité.
Louluop, désolé, je suis d'aucun recours sur le plan de faire boucherie. Actuellement si je tue c'est que l'animal est irrécupérable. Heureusement, j'ai une connaissance qui s'occupe de cet aspect. Mais c'est vrai on mange de la carne on devrait être capable d'assumer du début jusqu'à la fin.

...

Ben mon problème c'est aussi que même si je trouvais quelqu'un pour le faire pour moi, je ne suis pas certaine que j'apprécierais de manger un animal que j'ai élevé et j'estime que si on abrège une vie on se doit d'honorer ce sacrifice en appréciant vraiment ce qu'il nous a "offert"... Mais bon j'y travaille psychologiquement, déjà au début rien que d'en parler ça me dévorait de l'intérieur et maintenant je suis plus dans une phase "comment passer le cap"   Bon je pense que ça va me prendre encore un certain temps lol

Coucou56 a écrit:

Oui sa peux être intéressant, pour la rusticité qui m'intéresse moi par exemple c'est sanitaire (résistance maladie / vers / intempérie) mais aussi comportementale (par exemple lorsque j'ai introduit le couple de noire de Janzé, l'ensemble des poules s'est mise à aller plus loin et plus de recherches de nourriture hors mangeoires qu'avant... cette race a donc eu un impact que je trouve plutôt positif sur le comportement général de mon groupe... ) dans le cadre de mon projet de poulailler familial nourricier sur 400m2 et plus du coup (elles ont investie la prairie voisine en passant sous le grillage). Pour des éleveurs de poule d'ornement, ou des éleveurs de poule sur des petites surface ce n'est pas forcément les mêmes attentes.

Un post sur la rusticité et un post sur la productivité (oeuf / chair) je pense que sa intéresserait pas mal de monde .

Bonjour, intéressant ce que vous dites sur la noire de Janzé et sa capacité à aller hors mangeoire. Je connais cette race uniquement de ce que j'en ai entendu dire : de choper des frelons asiatiques pour la protection des ruches ! J'ai eu des Marans qui se nourrissaient surtout hors mangeoire, en sautant dans le pommier pour attraper les insectes, mais aussi au travers des cailloux des murets pour attraper des souriceaux ! bonne pondeuse, par contre, j'ai été déçu par son manque de vouloir couver, pas moyen, même en laissant ses œufs, le climat trop froid? . Je me suis tournée vers les Sussex, qui n'ont seulement pondent bien en toute saison, même par temps de neige, mais aussi pour les couvaisons, quand elles défendent leur nid et petits .
Peu d'expérience encore sur les races productives ou rustiques, mais je pense que celles qui conviennent à un environnement de montagne, par exemple, ne correspond pas à celles des plaines et qu'il doit y avoir d'autres critères, comme  dans les croisements.
De mon côté, je cherche la productivité pour notre consommation personnelle, et la rusticité dans la résistance au climat rude et bien sûr sanitaire, bien que sur ce point là, je n'ai pas eu de souci de maladies, jusqu'à présent, convaincue que la surface, parcours herbeux, variété alimentaire , évitent bien des soucis !
C'est un sujet à creuser, au gré des expériences partagées par les uns et les autres.

Gallinophile a écrit:

...
Un des choix personnel et discutable vient des couleurs "utilitaires". Je choisi majoritairement des couleurs allant du perdrix au brun pour arriver dans une petite marge de noire. Cela dans le but de rendre mes poules le moins visuel pour des prédateurs.
Toujours dans la même optique, j'évite tout ce qui peut occulter leur champ de vision.
...

Bonjour et bienvenue !
J'habite en moyenne montagne, au cœur des forets, avec une grande , trop grande, variété de prédateurs !
De mes observations : les rapaces se sont surtout attaquer aux poules de couleur foncé, jamais aux poules blanches, et les renards , au contraire, s'est attaqué aux poules (Azur) et canards de couleur clair ( de l'Allier ainsi que des croisements avec un mâle de Rouen donnant des canetons bleus et blancs). Les martres s'attaquent aussi aux canes de l'Allier et à leurs couvées . Du coup, niveau canard, je n'ai plus que des canards de Rouen et j'ai des poules Sussex blanches.
J'en déduis que chaque prédateur semble avoir ses préférences d'attaques selon les couleurs des proies. Mais ceci est à confirmer sur le long terme, bien sûr! ce n'est pas encore une généralité, juste une observation. il faudrait voir si un élevage d'une couleur unique subit plus les attaques de certains prédateurs que d'autres?

Louluop,
Je comprends c'est un travail sur soi. J'ai du euthanasié un coq jugé par la véto irrécupérable. Je l'ai fait, pas de guetté de cœur, à la machette le plus directement possible mais ... faut faire avec ses paradoxes. On est dans un monde (privilégié) où ce genre de choix peut facilement être délégué.

Edcha
Mes parcours sont en campagne assez exposé aux intempéries et vie sauvage réfugiée en forêt voisine. Nous sommes gratifiés de corbeaux, renards, on les voit passer même la journée, et l'autour qui lui ne tourne pas autour du pot. J'ai pu observer une attaque de ce rapace forestier qui n'a heureusement pas aboutie. Il y a un agriculteur dans le coin avec un poulailler remorque de 200 pondeuses et quelques coqs. En 2022, le couples d'autours lui a prélevé 10 poules et les renards 110.
Je n'ai eu a déploré, pour le moment fort heureusement qu'une poule prélevée alors que les poulaillers du coins ont été écumés. Au point où beaucoup de particuliers ont renoncé à garder des poules.

Les corbeaux, (grand corbeaux) sont un risque de prélèvement des œufs dans le poulailler des poussins mais font fuir certains rapaces.
Je peux récupérer en quantité du marc de café. J'ignore si ça eu un effet mais je continue dans mettre régulièrement le long des clôtures extérieures.
Par ailleurs pour les situations désespérées nos ancêtres utilisaient un lichen jaune qui porte le nom latin du renard on le trouve sur le mélèze. Je dis ça je dis rien.

Gallinophile a écrit:

Louluop,
Je comprends c'est un travail sur soi. J'ai du euthanasié un coq jugé par la véto irrécupérable. Je l'ai fait, pas de guetté de cœur, à la machette le plus directement possible mais ... faut faire avec ses paradoxes. On est dans un monde (privilégié) où ce genre de choix peut facilement être délégué.

Edcha
Mes parcours sont en campagne assez exposé aux intempéries et vie sauvage réfugiée en forêt voisine. Nous sommes gratifiés de corbeaux, renards, on les voit passer même la journée, et l'autour qui lui ne tourne pas autour du pot. J'ai pu observer une attaque de ce rapace forestier qui n'a heureusement pas aboutie. Il y a un agriculteur dans le coin avec un poulailler remorque de 200 pondeuses et quelques coqs. En 2022, le couples d'autours lui a prélevé 10 poules et les renards 110.
Je n'ai eu a déploré, pour le moment fort heureusement qu'une poule prélevée alors que les poulaillers du coins ont été écumés. Au point où beaucoup de particuliers ont renoncé à garder des poules.

Les corbeaux, (grand corbeaux) sont un risque de prélèvement des œufs dans le poulailler des poussins mais font fuir certains rapaces.
Je peux récupérer en quantité du marc de café. J'ignore si ça eu un effet mais je continue dans mettre régulièrement le long des clôtures extérieures.
Par ailleurs pour les situations désespérées nos ancêtres utilisaient un lichen jaune qui porte le nom latin du renard on le trouve sur le mélèze. Je dis ça je dis rien.

J’ai du euthanasier un poussin que j’essayais de sauver depuis des jours, donc je me préparais intérieurement, le jour venu je me suis préparée pendant des heures pour avoir le cirage et au final j’ai bien pleuré 2h alors que lorsque je me suis « lancée » je pensais que ça irait parce que je le faisais pour lui, et que vraiment j’avais tout tenté et je ne devais pas le laisser souffrir en sachant que ça ne se résoudrait pas!
Mais il va falloir que j’apprenne à prendre du recul, à accepter ce genre de choses, je ne saurais jamais une éleveuse pro mais il faut au moins que j’arrive à prendre du recul!

Courage,
Le fait d'élever ou de gérer des animaux confronte forcément à devoir prendre et assumer des choix douloureux. Ne pas perdre de vu que le statu de société privilégiée dans le quel nous vivons peut basculer à tous moments et que ce genre de choix peut se révéler sur un plan encore plus cornélien pour défendre sa familles ou sa gamelle.

Gallinophile a écrit:

Courage,
Le fait d'élever ou de gérer des animaux confronte forcément à devoir prendre et assumer des choix douloureux. Ne pas perdre de vu que le statu de société privilégiée dans le quel nous vivons peut basculer à tous moments et que ce genre de choix peut se révéler sur un plan encore plus cornélien pour défendre sa familles ou sa gamelle.

J’en suis consciente d’où cette volonté de passer au dessus de cette sensibilité qui me caractérise, et je sais que tout n’est pas affaire de sensibilité. Ma grande fille suit des études d’élevage, elle est elle aussi très sensible, en tout cas sur les animaux, mais aussi beaucoup plus froide que moi. Mais très vite elle a appris à faire la différence élevage et animaux de plaisir. Quand elle fait des stages elle doit « balancer » les cadavres, et elle le fait sans plus d’état d’âme car ça fait parti du métier. Elle arrive à se détacher avec tellement plus de maturité que moi! Ça en est presque vexant pour moi Mais c’est sûr que elle, elle en voit et fait des choses donc soit elle se créer sa carapace soit elle abandonne. Je pense qu’on ne peut faire sa vie dans l’élevage sans ça! Beaucoup de ces profs ont abandonné ce monde car il ne savais plus accepter ces douleurs (je parle surtout dans les chevaux) mais aussi beaucoup d’étudiants abandonnent…

Si je peux me permettre deux conseils.
Imaginé les deux extrêmes de la question le pire et le meilleure. En suite dites vous que vous devez vous frayer un chemin quelque part au milieu des fois un peu plus à gauche et parfois plus à droite selon les circonstances.
Une autre voie, essayez de vous imaginer avoir tout distribué autour de vous les oiseaux et le matériel, comment feriez-vous et vous sentiriez-vous en suite. Peut-être que cette sensibilité peut vous amener ailleurs ex. communication animale.

Citation :

Edcha
Mes parcours sont en campagne assez exposé aux intempéries et vie sauvage réfugiée en forêt voisine. Nous sommes gratifiés de corbeaux, renards, on les voit passer même la journée, et l'autour qui lui ne tourne pas autour du pot. J'ai pu observer une attaque de ce rapace forestier qui n'a heureusement pas aboutie. Il y a un agriculteur dans le coin avec un poulailler remorque de 200 pondeuses et quelques coqs. En 2022, le couples d'autours lui a prélevé 10 poules et les renards 110.
Je n'ai eu a déploré, pour le moment fort heureusement qu'une poule prélevée alors que les poulaillers du coins ont été écumés. Au point où beaucoup de particuliers ont renoncé à garder des poules.

Les corbeaux, (grand corbeaux) sont un risque de prélèvement des œufs dans le poulailler des poussins mais font fuir certains rapaces.
Je peux récupérer en quantité du marc de café. J'ignore si ça eu un effet mais je continue dans mettre régulièrement le long des clôtures extérieures.
Par ailleurs pour les situations désespérées nos ancêtres utilisaient un lichen jaune qui porte le nom latin du renard on le trouve sur le mélèze. Je dis ça je dis rien.

redoutable Autour des Palombes, majoritairement présent chez moi, je l'ai vu a l’œuvre sur une marans, un matin, tôt, le temps que j'arrive a la rescousse, trop tard mais l'affolement des volailles, les cris de la poule, impressionnant ! il l'avait déjà fendue sur les flancs  ! tout çà, en moins de  5 mn ! et l'agilité de ce rapace  a passer au travers les branches des arbres !!!
Je retiens pour le marc de café et le lichen jaune,  merci pour l'info ! çà tombe bien, j'ai une parcelle de mélèzes  a côté de la propriété !  

 Au moins il y a de la lecture, c'est cool !!! merci de nous rejoindre !