avant d'être "éleveur de poules" je suis surtout refuge LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux)
je vais essayer de vous faire partager cette passion qui m'est venue grâce aux hirondelles avant de connaître cet oiseau, j'avais une véritable phobie de tout ce qui portait des plumes................cette phobie s'est transformée peu à peu en une réelle passion.........comme quoi tout arrive
pour commencer un montage fait avec des photos prises en hiver 2003 en Sancerrois (double-clic sur la vidéo pour ouvrir YT et là visionner en grand écran)
puis je vous présenterais chaque espèce pour que vous appreniez à les reconnaître cet hiver, quand les oiseaux viendront visiter vos jardins vous pourrez aussi les entendre chanter.....
qu'est ce que c'est mimi, c'est quand même plus sympa dans la cocotte, mais bon, ne polémiquons pas à nouveau sur un sujet à trés forte sensibilité !!!!!!!!!!! tu cartonnes
c'est joli tout plein ton jardin, Maya, avec tous ces invités qui mettent les pieds sous la table, est-ce que tu peux préparer un nichoir pour moi, juste la taille au-dessus ?
je n'irai pas dans ton poulailler parce que tu as un coq tueur et que tu es obligée de rentrer avec un bouclier et un casque, alors tu penses bien, que c'est non !
Nom scientifique : Turdus merula Famille : turdidés Taille : 25 cm Poids : 80 à 110 grammes Âge maximum : 16 ans
Aspect Le merle noir appartient à la famille des grives, le mâle est entièrement noir, à l'exception de son bec jaune prononcé et un cercle orbital jaune-orange vif. On rencontre parfois des mâles partiellement blanc dans leur plumage, car cette espèce a une forte tendance à l'albinisme. Les femelles sont brun foncé avec des nuances plus claires sur la gorge et la poitrine et elles n'ont pas de bec et de cercle orbital jaune. Le plumage du jeune mâle est terne (ailes brunâtres). Jusqu'à son premier hiver, il a le bec brun-noir et n'a pas encore l'anneau orbital jaune-orangé de l'adulte.
Comportement À l'origine le merle noir vivait dans les bois et les forêts, mais de nos jours, il a fait aussi des jardins son domaine parce que son régime alimentaire n'est pas spécialisé. Le merle noir est l'un des premiers chanteurs du petit matin et son chant est le plus familier de nos jardins. Il défend son territoire très tôt dans l'année et commence parfois à construire son nid quand la neige recouvre encore le sol, dès février. La formation des couples commence parfois à l'automne ; elle s'accompagne de disputes relatives au territoire au desquelles les oiseaux se poursuivent, essayant de voler l'un au-dessus de l'autre. Le merle, véritable champion de la reproduction, peut élever jusqu'à 5 couvées en une seule saison, mais la première est souvent détruite, parce qu'elle n'est pas suffisamment dissimulée par des feuilles. La femelle peut commencer une nouvelle couvée alors que le mâle est encore en train de nourrir la précédente. Les jeunes des merles, commencent à voleter après huit jours à peine. Comme tous les turdidés, les merles recherchent leur nourriture au sol de préférence. Lors des hivers cléments, ils trouvent sous les arbres et les buissons des escargots, des vers, des scarabées et des larves d'insecte. Ils tournent souvent la tête pour localiser les vers. Il est important dès lors de laisser à leur intention des feuilles mortes dans nos jardins. À la mangeoire, les merles sont souvent querelleurs et chassent leurs congénères, mais aussi les autres oiseaux, Ces querelles sont moins fréquentes lorsqu'ils trouvent au sol plusieurs portions de nourriture dispersées; de cette manière, les jeunes mâles et les femelles prélèvent plus aisément leur part; en outre, cela permet aux espèces plus petites d'accéder à la mangeoire. Le merle se nourrit dans les espaces ouverts et les sous-bois, mais toujours à proximité du couvert végétal. Il est particulièrement bruyant lorsqu'il fouille les feuilles mortes à la recherche d'insectes, de vers (qu'il dérobe souvent aux grives musiciennes). Le merle noir visite volontiers les pelouses et les mangeoires
Habitat Le merle est très largement répandu dans les dans les bois, les bocages, les jardins et les bosquets des zones tant rurales que suburbaines ou même urbaines au cœur des espaces verts de nos villes.
Reproduction Période de nidification : mars à août. Nombre de couvaisons : 2 à 3, parfois 5 couvées. Nombre d'œufs : 3 à 6 œufs bleu-vert, parsemés de brun rouge. Incubation : 13 à 15 jours.
Nid : La femelle construit un gros nid à ciel ouvert ; le mâle peut l'aider à collecter les matériaux. Les merles nichent dans les arbustes, les haies, les bosquets, la végétation à feuilles persistantes, le lierre, parfois dans les bâtiments extérieurs, réutilisant souvent d'anciens nids. Son nid robuste est fait d'herbes, de radicelles, etc. Ce nid peu soigné, en forme de cuvette, est tapissé de boue et de brins d'herbe. Le mâle garde parfois les œufs quand la femelle s'absente.
Type de nichoir : Nichoir: à plate-forme ou de type semi-ouvert. Plancher: 300 x 300 mm. Envol : 13 à 14 jours. Emancipation : 3 semaines après. Taux de survie :
Migration Migrateur partiel (sauf en ville), une partie de nos merles migre dès l'automne en direction du sud ou du sud-ouest
Voix Avec son chant mélodieux et rempli de fantaisie, le merle noir est certainement l'un des plus grands chanteurs parmi les oiseaux de jardin. Le merle chante juché sur un arbre élevé et c'est le premier à retentir au lever du jour, dès le mois de février chez les jeunes mâles essayant d'acquérir un territoire. Ce chant est très riche et mélodieux, incluant des pauses fréquentes entre les différentes phrases. À l'opposé de la grive, le merle répète rarement sa phrase dans son chant. Le merle imite fréquemment les sifflements humains. Le chant devient moins fréquent après la ponte. En automne, il arrive que le merle chante en sourdine. Les cris, très variés selon l'humeur, vont des pik pik pik aigus, marquant l'excitation, aux poc poc d'inquiétude, sourds et peu sonores.
Nourriture naturelle Au printemps et en été, le merle se nourrit principalement des insectes et des vers de terre, pris au sol. Les jeunes reçoivent surtout des lombrics et des insectes adultes, car les chenilles sont plutôt rares dans les jardins. Pour attraper un ver de terre, le merle sautille sur la pelouse, s'arrête, incline la tête et retire l'animal de sa galerie avec le bec. On ignore si l'oiseau penche la tête pour écouter ou pour voir le ver, mais la seconde hypothèse paraît être la bonne. Le merle prend parfois des têtards et des poissons dans les pièces d'eau, et il dérobe la nourriture d'autres oiseaux, telle la grive musicienne (des escargots en l'occurrence). En automne et en hiver, régime varié comprenant des fruits et des baies (berberis, chèvrefeuille).
Mangeoires C'est un visiteur régulier des mangeoires. Il est attiré par les miettes de pain, la graisse, le fromage, les gâteaux, le riz soufflé, les déchets de cuisine, les graines, les flocons d'avoine trempés dans l'huile, les raisins secs, les baies séchées, fruits à pépins (pommes et poires) et les noix. [/size]
c'est beau. Chez moi, il y a des rouges-gorges, des geais (beaucoup de chênes), des mésanges bleues (surtout l'hiver), des moineaux, des tourterelles, des merles. Au début, à cause des chantiers et de la déforestation de chênes dans notre quartier (promoteurs immobiliers oblige) on avait plus tellement d'oiseaux, mais là ça a bien poussé, tout est planté et en plus, il y a à manger pour tout le monde (graines d'oiseaux que je donne à mes poules). Parcontre, on a un voisin qui n'arrête pas de traiter son jardin et chez lui je dois dire qu'il n'y a pas beaucoup d'oiseaux.
Le Moineau domestique (Passer domesticus) est une espèce de petit passereau très commun dans la plupart des parties du globe. Il porte également nombre de surnoms populaires, comme « piaf » (d'où le nom de la chanteuse Édith Piaf), « pierrot », etc.
Morphologie
Le moineau domestique mesure environ 10 à 15 cm pour le double d'envergure et un poids d'une trentaine de grammes. Le mâle possède une tache grise sur le sommet de la tête qui peut faire penser à la tonsure d'un moine, d'où l'origine du nom. Cette tache est bordée de marron. Le mâle se caractérise aussi par une gorge noire. Son plumage aux couleurs boisées donne à penser qu'il ne compte pas sur le chatoiement pour s'imposer. La femelle est plus terne, de couleur beige, avec la gorge unie. La couleur du plumage est le seul véritable dimorphisme sexuel car femelle et mâle sont sensiblement de la même taille.
Comportement
Locomotion Cette espèce se déplace en sautillant et en volant. Le Moineau domestique est pour l'essentiel sédentaire. Cependant, quelques mouvements migratoires sont connus.
Alimentation Les moineaux se nourrissent pour l'essentiel de graines, de détritus laissés par les hommes et de petits insectes. Les jeunes sont nourris d'invertébrés (en particulier d'insectes). Les moineaux mangent également des fruits et des bourgeons, voire de gros coléoptères.
Comportement social Discret, il n'hésite toutefois pas à chanter pour signaler sa présence. Son chant s'appelle le guilleri ; il est composé d'une suite de « tchip tchip ». On dit qu'il « pépie » ( ). Cet oiseau vit souvent en bandes.
Reproduction Le moineau bâtit son nid en mars, de préférence dans une cavité (fissure, gouttière, etc.), à partir de paille, de plumes, de brins de textile. Il peut lui arriver d'occuper des nids d'hirondelle, parfois en délogeant les habitants. La femelle pond de 3 à 8 œufs, couvés par les deux parents pendant 14 à 17 jours. Vingt jours après leur éclosion, les jeunes peuvent quitter le nid, ce qui permet aux parents de nicher une nouvelle fois. Un moineau peut vivre jusqu'à une dizaine d'années
Le moineau domestique et l'homme Leur présence est étroitement liée à celle de l'homme, dont ils s'approchent volontiers. À Paris, on estime leur population entre 20 000 et 30 000 couples, soit un nombre comparable à celui des pigeons. Si la ville leur offre de nombreuses possibilités de se nourrir, leur nombre décroît à la campagne, les insecticides et herbicides éliminant les herbes folles et les insectes dont ils se nourrissent. Certaines populations des villes ont commencé à chuter également : à Londres, où la Société royale pour la protection des oiseaux et de nombreux ornithologues amateurs ont étudié de près ce problème, une étude de 1925 recensait deux mille six cents moineaux domestiques dans les jardins de Kensington ; en 2000, ils n'étaient plus que huit. Selon les pays et les régions, le moineau est soit protégé, soit considéré comme un nuisible, à cause de ses déprédations sur les cultures, principalement de céréales.
Evolution démographique Il semblerait que, pour des raisons encore largement méconnues, les populations de moineaux diminuent un peu partout en Europe. Deux études de 2007 (en Belgique et en Espagne) mettent en relation ce déclin avec le développement des champs électromagnétiques. Il est invasif en Amérique dans le Golfe Persique ainsi que dans la zone Australasienne. Seules certaines variétés sont considérées comme domestiques par la législation française. http://fr.wikipedia.org/wiki/Moineau_domestique
Ce petit oiseau si sympa. J'avais lu dans une revue (il y a déjà un petit bout de temps) que la baisse de leur effectifs pourraient etre dû aux insecticides mais également au fait qu'autrefois les murs des maisons étaient fait avec un mélange de paille et de terre ou bien en terre tout court. Ce matériaux permettait aux moineaux de faire leur nid. Actuellement plus beaucoup de maison en terre + protection en dessous de la toiture pour éviter que les oiseaux fassent un nid. Mais je pense que le moineau sait tirer son épingle du jeux car j'observe son léger et progressif retour dans nos campagnes. C'est un bonheur que de revoir ce petit oiseau espiegle et au "tchip tchip" (oui je sais je n'imite pas tres bien le chant du moineau) si caractéristique
Ce petit oiseau si sympa. J'avais lu dans une revue (il y a déjà un petit bout de temps) que la baisse de leur effectifs pourraient etre dû aux insecticides mais également au fait qu'autrefois les murs des maisons étaient fait avec un mélange de paille et de terre ou bien en terre tout court. Ce matériaux permettait aux moineaux de faire leur nid. Actuellement plus beaucoup de maison en terre + protection en dessous de la toiture pour éviter que les oiseaux fassent un nid. Mais je pense que le moineau sait tirer son épingle du jeux car j'observe son léger et progressif retour dans nos campagnes. C'est un bonheur que de revoir ce petit oiseau espiegle et au "tchip tchip" (oui je sais je n'imite pas tres bien le chant du moineau) si caractéristique
effectivement leur disparition dans la région était notoire depuis que je suis arrivée ici, mes voisins sont étonnés de les voir à nouveau il faut dire que la cantine est toujours bien approvisionnée
Ah les moineaux, ils viennent se régaler avec les graines de mes canards, j'ai beau a mettre une mangeoire a trémie, rien n'y fait, ils trouvent toujours une solution. Sans déconner, j'en ai passer 70-80 qui s'envolent quand je tape des mains !
Mer 21 Oct 2009 - 16:56 par Invité